vendredi 27 mars 2009

le col des nuages octobre 2007


1 commentaire:

  1. Des arabesques végétales s'enlacent aux racines des arbres, les ombres ne se fanent jamais... Elles disparaissent, peut-être, un jour. j'imagine une maison à la blanche terrasse, la cascade chantante un peu plus haut, une tasse de thé vert parfumé au lotus, un bol de riz et des baguettes de bambous.
    Un livre est ouvert, c'est la lumière d'une saison qui n'en finit pas de m'épanouir.
    Il n'y a plus d'oiseaux sur les fils électriques. la brume écartèle le paysage montagnard, comme un repli, un retrait cloîtré, une ambiance d'orage qui approche.

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