mercredi 1 juillet 2015

Vue de la bibliothèque de l'Institut Français de Pondycherry






Pondicherry le vendredi 23 janvier 2015

« Le champ visuel de la divinité sont les fenêtres ajourées, percement de trous où la divinité peut se déployer. »

" De la maison à la ville en pays Tamoul". De Jacques Gaucher


Ces fenêtres laissent filtrer la lumière, un peu comme le principe du sténopé. Petites, rectangulaires, n'offrant que peu de clarté. Leurs structures sont des ossatures constituées de petites volutes internes qui reprennent des symboles divins et laissent passer les rayons solaires. La source lumineuse principale étant la porte d'entrée avec son thinnai, les fenêtres ne sont que des appoints pour la cuisine ou autres pièces si il y a.  

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