samedi 11 avril 2009

rizière environ de Hué





1 commentaire:

  1. le corps qui se devine, une main fine qui s'ouvre lentement, un pied tendu, en flexion, une bouche fermée : formes végétales du corps. le silence des ombres du linge qui vole, le silence paisible des rizières, la nonchalance attentive et accueillante des hommes au repos, l'attitude recueillie et perspicace de la femme, des images de naturelle obstination à percer le secret de la volupté qui existe entre la chaleur, la nature aux mille éclats de soleil et le corps humain. le silence bruissant des ces photographie qui forment une danse.

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